Les gisements de pétrole, de gaz et de charbon sont bien le produit d’éléments biologiques se décomposant sous
l’effet de fortes chaleurs et pressions, mais là n’est pas la seule origine de ces produits. Ils se forment dans
l’atmosphère sous certaines conditions, lorsqu’une intense chaleur en provenance des volcans en éruption et
d’éclairs permanents crée l’équivalent de produits pétrochimiques à partir du carbone, de l’hydrogène et de
l’oxygène de l’atmosphère. Ceux qui doutent de cette affirmation en réfèrent aux éruptions volcaniques et aux
éclairs qu’on observe actuellement et qui ne montrent en rien de telles formations, mais l’environnement actuel
n’est pas comparable à ce qu’il est au cours d’un basculement des pôles, lors du traumatisme enduré par la Terre
au passage de sa sœur, la 12ème Planète.
Comment cela se fait il que les gisements de pétrole et de gaz ne se forment pas de nos jours? Le climat est il si
différent du climat passé? Les tremblements de terre n’engloutissent ils pas des forêts et la lave ne
recouvre-t-elle pas les prairies? Les théories sur les formations du pétrole et du gaz pourraient être soumise à l
‘expérimentation tous les jours, en cette période actuelle, mais une telle hypothèse n’a jamais été avancée ni
même seulement imaginée. Le pétrole et le gaz ne se forment pas dans des conditions normales, ils se forment en
des circonstances exceptionnelles, et pour la Terre, la plupart du temps, ces circonstances se présentent lors
d’un basculement des pôles, lorsque les forêts sont prises en sandwich entre des couches rocheuses et que la
lave recouvre de vastes étendues. Les produits pétrochimiques qui se forment dans le ciel, où ils ne
s’enflamment pas par manque d’oxygène, se déversent dans le sol fracturé et se trouvent piégés lors du processus
de retour à la normale que fournissent les répliques de séismes pendant de nombreuses années après un
basculement des pôles.
Dans la plupart des cas, de tels produits pétrochimiques formés dans l’atmosphère lors des basculements des
pôles et qui s’infiltrent dans le sol fracturé, se trouvent altérés par le processus normal de décomposition de la
matière organique. Le pétrole que trouvent les humains aujourd’hui a évité ce processus en se retrouvant coupé
du contact de l’air, dans une tombe où les bactéries ne pouvaient pas résister. Sur les terres, ce sceau rapide se
produisit parce que les énormes raz de marée qui accompagnent les basculements de pôles couvrent le sol
fracturé d’une couche d’eau de mer stagnante qui se sera faite piégée. Celle-ci, bien sûr, s’évaporera-t-elle avec
le temps, en laissant une couche de sel sur les gisements de pétrole, d’où l’association du pétrole avec des
gisements de sel.